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Vie pratique

REPORTÉ : EXPOSITION PHILIPPE BERG A LA MAISON DE MANDRIN
Du Mardi 07 avril 2020 au Lundi 04 mai 2020

Les tableaux qui vous sont proposés permettent de découvrir une partie de la diversité du travail de l’artiste. On peut schématiquement distinguer deux périodes.
Les années 1960 à 1970 : l’approche est plutôt abstraite, le sujet importe moins que le travail technique.
« Des pates lentement accumulées s’étalent comme de vastes territoires à dominante jaune-ocre, ivoire ou rose, où se détache la lumière contrastante de mers en bleu turquoise » - Le Monde – 1962
« E. BERG distille une lumière d’au-delà : celle qui prépare la nuit et lui succède et qui, de toutes manières, en est imprégnée » - L’Information – 1962
(Extraits d’articles publiés lors de l’exposition au musée du Château de Compiègne du 13 au 20 mai 1962).

Notre Dame de Paris - 1963
A partir des années 1990 : le parti pris est résolument néofiguratif. La technique n’est plus au centre des préoccupations de l’artiste. Il s’agit d’exprimer toutes les émotions : douleur, tristesse, angoisse, tendresse… Que l’on n’apprécie ou pas, on ne peut rester indifférent.Les années 1960 à 1970 : l’approche est plutôt abstraite, le sujet importe moins que le travail technique.
« Des pates lentement accumulées s’étalent comme de vastes territoires à dominante jaune-ocre, ivoire ou rose, où se détache la lumière contrastante de mers en bleu turquoise » - Le Monde – 1962
« E. BERG distille une lumière d’au-delà : celle qui prépare la nuit et lui succède et qui, de toutes manières, en est imprégnée » - L’Information – 1962
(Extraits d’articles publiés lors de l’exposition au musée du Château de Compiègne du 13 au 20 mai 1962).

Notre Dame de Paris - 1963
« Peintre néofiguratif, Philippe Berg traque les impacts de la vie sur nos corps et nos visages. Kraft froissé ou non, papier, toile, aquarelle ou huile, quels que soient la technique ou le support, le peintre nous propose une approche kaléidoscopique de nos blessures les plus ordinaires »
(Commentaire de Monique Raïkovic, lors de l’exposition organisée à l’Hôpital Georges Pompidou à Paris, à l’occasion d’un colloque médical consacré à la prise en charge de la douleur).
